Cédric Roux
Istanbul au Leica Q
Série faite du 19 au 22 mars 2018 au Leica Q.
L’optique 28mm du Leica Q est un vrai plus pour capturer des scènes de rues à Istanbul tant il se passe plein de choses à chaque coin de rue. De plus, la simplicité du Q permet de modifier ses réglages très rapidement pour s’ajuster en fonction des changements de lumière suivant les ruelles que l’on emprunte. Aussi, avec la très bonne autonomie du Q, on ne s’empêche pas de déclencher très souvent et il y a matière, ainsi on se sent libre dans sa pratique, pas freiné par une contrainte technique. Enfin, l’extrême rapidité de l’AF nous apporte une tranquillité non négligeable si l’on souhaite ne pas faire sa mise au point manuellement ce qui peut des fois nous faire rater des scènes.
Istanbul souls.
Istanbul, plus de 14 millions d’âmes qui se croisent et se côtoient en toute quiétude, à cheval sur deux continents, trois rives et sept collines.
On est immédiatement captivé par le rythme et l’énergie qui parcourt la ville Istanbul est un spectacle de rue permanent, ça grouille, tout se passe sous nos yeux et les ruelles sont prises d’assaut par les commerçants en tout genre, les chiens et les chats errants se mêlent aux porteurs, les pigeons et les mouettes offrent également des éléments à incorporer dans les images à composer et recomposer à chaque instant. Là-bas, l’appareil photo n’est pas un ennemi, les gens vivent leur vie sans faire attention aux autres. C’est ce que j’ai essayé de montrer au travers de cette série.